L’eau est omniprésente sur notre territoire (façades maritime et estuarienne, réseau hydrographique et milieux humides associés) et coule toute l’année au robinet de nos habitations : a priori, tout irait pour le mieux sur le territoire de la CARA.
Néanmoins, l’accélération et l’intensité croissante des effets du changement climatique met sur le devant de la scène la problématique cruciale de la gestion quantitative de la ressource en...

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L’eau est omniprésente sur notre territoire (façades maritime et estuarienne, réseau hydrographique et milieux humides associés) et coule toute l’année au robinet de nos habitations : a priori, tout irait pour le mieux sur le territoire de la CARA.
Néanmoins, l’accélération et l’intensité croissante des effets du changement climatique met sur le devant de la scène la problématique cruciale de la gestion quantitative de la ressource en eau : pas assez d’eau durant des périodes de sécheresse, trop d’eau à d’autres périodes avec des phénomènes d’inondation ou encore le risque de submersion marine qui s’accroît en lien avec la montée du niveau de l’océan, etc.
Le conseil de développement a engagé une réflexion sur la perception par les habitants, d’une part des risques de pénurie d’eau en lien avec la sécheresse, d’autre part des risques d’inondation et de submersion marine sur notre territoire. A travers ce questionnement, nous souhaitons mieux appréhender la manière dont les habitants perçoivent ou vivent déjà ces risques, mieux comprendre la perception qu’ils se font de leurs consommations et des différents usages de l’eau.