Parce que les associations sont un facteur important de cohésion et de lien social sur le territoire, plus encore au cours de cette période compliquée. Les associations peuvent jouer un rôle irremplaçable largement reconnu par la population locale.

Mais les connaît-on vraiment, surtout après cette période COVID ?

Je vous propose un focus sur la vie associative de notre agglomération.

La méthode

Auparavant, je souhaite citer le groupe de travail qui œuvre depuis plusieurs semaines : Béatrice Renu qui habite Vaux‑sur‑Mer, Christian Anikine de Cozes, Benoit Combaud des Mathes/La Palmyre, André Dujarric d’Étaules, Daniel Dutheil de Meschers, Jean Fayolle de Mornac‑sur‑Seudre, Alfredo Tomas de Royan et moi‑même de Saint‑Georges‑de‑Didonne.

Notre première démarche a consisté à créer un questionnaire pour mieux connaître ce tissu associatif, parallèlement nous avons contacté les communes pour avoir accès direct ou indirect aux adresses courriel des responsables associatifs.

Des relances ont été prévues pour motiver les président(es), après deux mois nous avons fermé l’accès au questionnaire établi sur une plateforme internet.

Quelques chiffres :
Nous avons sur le territoire plus de 1200 associations ! Le retour de notre enquête a concerné près de 28% des associations.
Sur cette base je vous propose de parcourir ces premiers résultats.

Conclusion

1. importance des emplois
2. activités pérennes sur l’année
3. rayonnement sur l’agglo (adhérents et activités)
4. COVID relativement maîtrisé
5. manque de locaux pour les associations
6. partenariat satisfaisant avec les collectivités
7. engagement possible sur des thèmes d’intérêt général

La suite...

Travailler sur l’aspect qualitatif de notre enquête en allant à la rencontre des responsables associatifs pour mieux connaître la réalité de la vie associative et envisager des mutualisations, des aides techniques et administratifs, des "coups de main" lors d’événements, etc.
Réfléchir sur les ressources des associations : partenariat privé, services rendus, aide des collectivités...
L’idée est de cerner le potentiel du milieu associatif et la demande publique.

Référent : Michel BELLOUARD

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